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La carte bleue pour les services publics locaux, profitez-en dès maintenant !

CbL'association des maires de France (AMF) s’associe à la diversification des moyens de paiement des services publics locaux en signant un protocole avec le ministre de l’Economie, des finances et de l’industrie et le ministre déléguée à la Cohésion sociale et à la parité. Ce protocole vise à favoriser le paiement par carte bancaire au sein des services publics locaux, ainsi que l’acceptation de moyens de paiement alternatifs au chèque. A l’origine lancé en faveur d’un public en difficulté bancaire, qui ne dispose pas de moyens de paiement par chèque, ce dispositif étendu à tous les services de proximité serait sans doute extrêmement bien accueilli par l’ensemble de la population.
EPCI, ville, communauté, toutes les marques territoriales sont concernées :
Faciliter le règlement pour les cantines, crèches, haltes garderies, piscines... serait un moyen simple de dynamiser une marque territoriale en lui donnant une image de modernité et de proximité. Couplé à une intelligente campagne de promotion de l’image de marque de la ville ou de la collectivité concernée, les bénéfices seraient immédiats. Une campagne de street marketing ou de marketing alternatif est tout à fait envisageable pour ce type d’opération.
Contactez diapo ([email protected]) ou au 0825 800 139 pour connaître les moyens à mettre en place

01 mar 2006 à 13:00 | Lien permanent | Commentaires (1)

Avec FON, dynamisez votre marque territoriale !

Fon1« FON (http://fr.fon.com/) - prononcez "fone" - révolutionne le WiFi et rend l'Internet mobile. FON réunit tous les utilisateurs de WiFi qui partagent une partie de leur connexion Internet sans fil. »
FON est un instrument de sociabilité et nomadisme numérique, un réseau de personnes, explique Yann Mauchamp, qui dirige la société en France. 
FON est soutenue depuis le 5 février par les plus grands fonds d’investissements : Séquoia Capital (Google, Linkedin, mp3.com, Yahoo…) , Google, Skype, Index venture.
Mais quel rapport avec votre marque territoriale ?
Fon2 D’ici à 2 ans, tout le monde parlera de FON. Un outil démocratique, grand public, ciblant parfaitement les attentes des internautes, avec pour ambition - réaliste - de créer la plus grande communauté sans fil au monde.
D’un point de vue marketing, on peut estimer que seuls les leaders d’opinion ou les early-adopters utiliseront FON jusque fin 2006.
Profitez-en ! Vous avez la chance unique d’émettre un message fort en direction de ces leaders, et d’y associer l’image de votre marque. Ville, communauté d’agglomération, communauté de commune, Office de tourisme, EPCI… les opportunités sont très rares de pouvoir augmenter naturellement la notoriété de votre image de marque en l'associant à un dynamisme naissant.
Il est évident que les premières collectivités qui offriront aux habitants de partager ce système profiteront de retombées médiatiques immédiates. C'est également une opportunité évidente pour les pôles de compétitivité, les futurs pôles d'excellence rurale et les villes et villages isolés.
diapo, spécialisée dans le marketing territorial, ([email protected]) peut vous prêter main forte dans l’établissement d’une telle opération, qui nécessite une approche rigoureuse et ordonnée. Contactez diapo sans tarder pour obtenir des détails sur l'opération qui peut être envisagée sur votre territoire au 0825 800 139

26 fév 2006 à 01:01 | Lien permanent | Commentaires (7)

Une marque territoriale "Sud de France" pour les vins du Languedoc Roussillon

Vin_1 Label commun, la nouvelle marque territoriale Sud de France (South of France) va regrouper l'ensemble des vins du languedoc Roussilon. Georges Frêche a annoncé le déblocage  de 12 millions d'euros pour favoriser l'exportation des produits agricoles régionaux, qui seront regroupés sous cette bannière. Le vignoble concerné est le plus grand au monde, avec quelques 75.000 hectares de vignes.
La nouvelle marque Sud de France doit permettre d'offrir une plus grande lisibilité sur les vins et produits agricoles de la région, en France comme à l'étranger.

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22 fév 2006 à 15:46 | Lien permanent | Commentaires (1)

Affaire Clemenceau, l'image de la France sauvegardée ?

Clem_1Le Clemenceau est donc de retour, sur ordre du Président de la république (1). L'affaire Clemenceau a-t-elle pris fin pour autant ? Y a t il eu un impact sur l'image de la marque territoriale "France" ?
Dans une note récente sur l'affaire clemenceau, nous indiquions que d'un point de vue "risque marketing", tous les éléments montraient que le risque était prévisible, et que l'impact sur l'image de marque de la France était potentiellement important.

D'un point de vue marketing, cette affaire ressemble en tous points à la gestion d'une crise de "retrait de produit". L'équation est simple et les règles constantes :
1/ Si un produit présente un risque, retirez-le immédiatement de la vente.
2/ Devancez les médias.
3/ Offrez une information constante, juste et sincère.
4/ Montrez une image responsable.
5/ Offrez un point central d'information et une seule version des faits.
On voit bien ici qu'aucune de ces règles n'a été appliquée par les acteurs. Mais pour autant, on peut imaginer que l'affaire Clemenceau n'aura que peu d'impact sur l'image de marque de la France.

Le retrait annoncé a été décidé par la France. Les titres de la presse internationale sont rédigés en ce sens, en indiquant que c'est bien Jacques Chirac qui a ordonnée le rapatriement du Clemenceau. En terme de communication, Jacques Chirac ayant oeuvré depuis longtemps dans le sens de l'environnement au niveau mondial, les populations étrangères - Indiens non compris - interpréteront que la France a été responsable dans cette affaire en conservant son bien contaminé.
Reste à convaincre la population Française elle-même. C'est au retour du Clemenceau que tout se décidera. A ce moment là, le chantier de désamiantage devra répondre au besoin d'information de la population, en offrant une transparence totale sur sa gestion. Les Français devront pouvoir se rendre compte par eux-mêmes que le chantier de désamiantage présente toute les précautions requises, et devront pourvoir suivre l'avancée du chantier en temps quasi-réel.

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(1)Par une décision en référé du 15 février 2006, le Conseil d'Etat a décidé de suspendre le transfert de l'ex-porte-avions français «Clemenceau» vers un chantier indien, où il devait être désamianté et démantelé. Jacques Chirac a immédiatement ordonnée le retour du Clemenceau en France.

16 fév 2006 à 12:46 | Lien permanent | Commentaires (1)

Grippe aviaire : anticiper les effets sur l'image de la marque territoriale

Coq_1

La grippe aviaire n'a pas encore frappé la France, mais il serait utopique de penser que nous pouvons l'éviter. Il est tout à fait probable que l'une de nos régions subira très prochainement l'arrivée du virus, malgré les différentes mesures de confinement qui ont été prises. Alors, quelles peuvent en être les conséquences sur l'image de marque du ou des territoires concernés ?
Tout dépendra du niveau d'anticipation et de réponses qui ont été imaginées et prévues en amont de la crise, à la fois par les collectivités locales et au niveau national.Phénomène très largement relayé par les médias du monde entier et qui n'a pas encore touché un pays comme la France (1er producteur Européen de volailles, 4ème exportateur mondial), la grippe aviaire est un bon exemple de risque marketing qu’il faut savoir anticiper. La grippe aviaire est un risque majeur à l’échelle du Pays. Et les conséquences d’une mauvaise gestion de crise, même locales, seraient immédiatement relayées en cascade jusqu’au niveau national. Il est donc urgent tout à fait urgent que chaque organe de gestion territoriale, ville, communauté, département, région et état se réunissent et offre un point central d’information.
Le fait que tel ou tel organe de décision soit juridiquement seul responsable du traitement des conséquences de l’arrivée du virus importe peu, puisque en terme d'image tous les territoires sont concernés.
Quel serait les effets sur la marque d’une collectivité locale qui ne réagirait pas immédiatement à la crise, lorsque l’on sait que les médias attendent déjà l’information ? Un désastre, bien entendu. Tant au niveau Local, que régional, et national.
D’un point de vue communication, la grippe aviaire (tant que le virus n’a pas muté) est en fait une chance. Parce qu’il est facile de prévoir les différents scénarios à mettre en place pour devancer et informer régulièrement les médias avec une attitude responsable et une image de contrôle. Vous avez quelques semaines ou quelques mois pour vous y préparer...

13 fév 2006 à 16:15 | Lien permanent | Commentaires (0)

Clemenceau : mauvaise gestion de la marque "France"

GreenpeaceL'affaire du clemenceau et de son amiante est un cas d'école de mauvaise anticipation et gestion de communication de crise. Au-delà de tout point de vue écologiste ou politique, l'état a sans doute négligé le risque marketing et son impact sur l'image de la marque territoriale "France", qui était pourtant tout à fait prévisible. Tous les ingrédients étaient réunis pour faire de cette affaire un scandale pouvant impacter négativement et durablement sur la marque : un emblème national, une menace toxique, l'écologie, la mondialisation, le conflit Nord-Sud ...
S'y rajoute le désaccord des Français et celui des Indiens :
En France, un sondage exclusif réalisé par l’institut CSA (pour les associations Greenpeace, Andeva, Comité anti-amiante Jussieu, FIDH et Ban Asbestos), révèle qu’une très forte majorité de Français (68%) veulent que le Clemenceau soit rapatrié en France pour être désamianté. (source: greenpeace).
ClemenceauEn Inde, selon un sondage publié le 11 février 2006, 70 % des Indiens se prononcent contre le désamiantage du Clemenceau en Inde. Ce sondage a été réalisé auprès de 983 personnes par le groupe Hansa Research Group. (source: marseamer)

Pour un coût "évité" de 5 Millions d'euros (désamiantage en France moins valeur de la coque), la marque France s'est donc offerte une fabuleuse campagne de communication négative à l'échelle mondiale, coût ridicule si on le compare à celui des futures actions de communication qu'il faudra engager pour "ramener" une image positive du Pays.
L'affaire clemenceau doit devenir un exemple pour la gestion des marques. Régions, communautés, EPCI, villes... des problèmes similaires sont envisageables partout en France, pour tous les risques potentiels, et seule une anticipation et une gestion du risque marketing pourrait permettre d'éviter un impact négatif sur nos marques territoriales.

> Apportez vos commentaires à cette note en cliquant sur "commentaires" ci-dessous.
* source : greenpeace

13 fév 2006 à 10:45 | Lien permanent | Commentaires (2)

Les infos territoires.com dans Google actualités

Googleactu Territoires.com est fière d'être l'un des rares Blogs et source d'informations collectées par Google Actualités. (Google news)
"Google Actualités présente des articles collectés auprès de 500 sources d'information en français dans le monde. Les différentes rubriques sont mises à jour toutes les 15 minutes, si bien que vous devriez découvrir des informations nouvelles à chaque consultation. Il vous suffit de sélectionner un sujet qui vous intéresse pour accéder directement au site qui a publié les informations correspondantes." - source google -
Tous les articles parus sur territoires.com sont donc immédiatement disponibles sur Google news, en temps réel. Google news est une source de crédibilité supplémentaire pour territoires.com, qui peut ainsi s'ouvrir à un large lectorat.

09 fév 2006 à 00:14 | Lien permanent | Commentaires (0)

EPCI, démocratisez-vous en visant les outils online !

GroupeLes différentes critiques récentes portant sur l'absence de consultation des habitants pour la gestion et le développement d'une EPCI font apparaître un besoin réel de proximité et d'écoute. Difficile à mettre en oeuvre dans la vie courante, cette participation active des habitants peut pourtant être fort utile au développement de la marque territoriale, et contribuer à son acceptation et son appropriation par les habitants.
Forums, wiki, blogs, podcast etc.. peuvent créer des avantages "concurrentiels" pour les communautés d'agglomération, de communes ou urbaine. Ils représentent un potentiel d'apport de nouvelles idées, d'échanges de point de vue et d'informations, et accroissent naturellement la notoriété de l'EPCI au niveau National et international. Ils sont également un atout précieux pour cibler, voir "contenir" les leaders d'opinion.
Si les expériences sont peu nombreuses au niveau des EPCI, ces outils sont utilisés avec succès par des communes, parfois de très petites communes. Ils sont liés à ce que nous appelons le marketing participatif.
Ainsi, Saulzoir, 1.700 habitants (http://commune-saulzoir.hautetfort.com/),  possède son blog, tout comme pfastatt, 8.500 habitants (http://pfastatt.typepad.com/unjour/), ce qui ne manque pas de donner une image de sympathie et de proximité.
Si ces outils possèdent des avantages réels, ils doivent être pourtant rigoureusement suivis et mis à jour. L'image de marque du territoire en dépend. Un blog comme celui du conseil de développement de l'agglomération Grenobloise(http://blog.conseil-dev.la-metro.org/) apparaît malheureusement figé (4 articles depuis le 1er Juin 2005), et donne l'impression d'un immobilisme - à tord, puisque le site, à une autre adresse (http://conseil-dev.la-metro.org/), apparaît lui comme dynamique et mis à jour. Un internaute reste persuadé qu'en entrant sur un site Internet, il pénètre sur le territoire : le retour d'image et l'avis qu'il s'en fait est ainsi immédiat - positif ou négatif.
Si le blog nécessite la mise en ligne d'articles réguliers, le forum est passé maître dans l'art de la démocratie. Encore très peu utilisé, il ne nécessite pourtant qu'un suivi de modération, ou d'auto-modération par des membres actifs.
Marseille-forum  (http://www.marseilleforum.com/forum/), un site associatif, présente ainsi plus de 24.000 messages et 380 membres, enrichi chaque jour d'échanges sur des sujets locaux, du co-voiturage aux photos de Marseille. Un projet intéressant, qui aurait pu être lancé par la Mairie (qui possède un "mini forum") ou la communauté (qui n'en possède pas).
Encore trop centrées sur la recherche et l'accueil de nouveaux arrivants, les communautés doivent prendre possession de ces nouveaux outils, en songeant qu'une dynamique interne au territoire ne pourra qu'être bénéfique à son développement. Très peu couteux, non mobilisateurs de ressources, et d'une gestion facilement externalisable, ils représentent un atout majeur pour la visibilité online de la marque territoriale. diapo ([email protected]) développe un service spécifique pour les communautés souhaitant  gérer ces outils.

08 fév 2006 à 23:34 | Lien permanent | Commentaires (1)

Risque marketing, un enjeu majeur pour les territoires

risque marketing Le risque marketing est un moyen d'aborder les effets positifs ou négatifs d'un risque avéré sur une marque. Mêlant habilement études, marketing et communication, il ne s'agit pas ici d'éviter un risque, mais d'anticiper et de prédire ses effets pour mieux y répondre, les contrer ou les absorber.
Le risque marketing est une pratique de plus en plus répandue pour les marques de grande consommation, mais encore peu utilisée par les acteurs gérant des marques territoriales.

Villes, départements, régions, agences de développement, communautés ou agglomérations, vous êtes pourtant tous concernés, et au premier plan !
De part la diversité des acteurs présents au sein d'un territoire, il est bien entendu bien plus complexe d'étudier les risques et ses effets potentiels, mais cette diversité augmente justement considérablement les risques !

L’appréhension du risque marketing est un enjeu majeur pour les marques territoriales dynamiques. Le chantier est certes important, mais assez peu évolutif : une fois acquis une quasi-exhaustivité des risques potentiels, une étude de l'impact sur l'image de la marque territoriale et des scénarios de réponses, le travail consiste uniquement à cultiver cette culture du risque et enrichir la base de scénarios. 

Les chantiers de risque marketing présentent également le grand intérêt de prendre conscience des faiblesses du territoire, et de renforcer la marque. Bien en amont et complémentaire à la gestion ou à la communication de crise, cette activité devient indispensable au fur et à mesure que les territoires deviennent de véritables marques.

Connaissez vous les risques potentiels de votre territoire ? En connaissez vous les effets sur votre marque territoriale ? Pourriez vous apporter une réponse ou des scénarios de réponses dans les 4 ou 5H ? ...


06 fév 2006 à 00:25 | Lien permanent | Commentaires (8)

Changer de nom, vous y pensez ?

Des régions, des départements, des villes songent à changer de nom. 
territoire languedoc roussillon Le languedoc roussillon y a renoncé... après avoir songé pendant un moment à la dénomination "Septimanie"... Bien entendu, le nom Septimanie est historique : La Septimanie était une province gallo-romaine assez proche du découpage du Languedoc actuel, et le languedoc roussillon  ne correspond pas à une réalité historique (le languedoc était en fait le comté de Toulouse). Bel argument... mais bien entendu, qui a donné lieu à une levée de boucliers : Les habitants (septimaniaques ?) les médecins (Septicémie ?) Les sétois (Setimanie) Les sceptiques ... et plus logiquement les marketeurs : A moins d'en être réellement forcés (Comme Danone avec Bio Activia), on ne change pas une marque ayant un potentiel ou une notoriété importante sur un coup de tête. Il suffit de prendre un peu de recul et d'accepter ses différences pour en faire des atouts.
Ainsi, la région Centre qui voudrait changer de dénomination ferait une erreur : c'est une excellente dénomination qui comporte un potentiel important.
Mais qu'en est-il quand la dénomination est réellement problématique ?
territoire provence alpes cote azur La BASSE Normandie est certes moins bien dotée que la Haute Normandie, et les habitants de PACA n'aiment ni leur nom (trop long), ni leur acronyme (pas très joli en effet)...
Et bien, Faites avec, car le plus souvent, le nom possède une notoriété qu'il serait dommage de voir revenir à 0 ! Une identité intelligente permettrait sans doute de résoudre la problématique de Provence-Alpes-Côte-d'Azur, et de donner un sentiment d'appartenance plus fort aux habitants. Idem pour la basse normandie, qui possède des atouts que d'autres lui envient. Prenez du recul, faites appel à une agence spécialisée...
En étudiant et en renforcant subtilement les valeurs et l'attractivité du territoire, on peut lui offrir une maque enviable et juste, même avec un nom qui ne l'est à priori pas. Tout le monde boit du Coca, et tout le monde est contre la cocaïne...

04 fév 2006 à 22:31 | Lien permanent | Commentaires (4)

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