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epci, collectivités, devenez neutres en Co2 !

Neutreco2 Imaginez votre collectivité ou l'un de ses services qui n'émettrait plus de Co2, ou qui compenserait une partie ou la totalité de ses émissions. Imaginez les bénéfices durables en terme d'image et d'impact sur l'environnement. Neutres en Co2 ? un plus pour l'environnement, et une action intelligente de marketing territorial.
Prenez l'exemple de votre service et de sa consommation quotidienne. Vous utilisez des ordinateurs, de l'électricité, des véhicules de service... Et si vous pouviez maintenant labelliser votre service "Neutre en Co2" ?
Au-delà des efforts que vous pouvez consentir sur la réduction des émissions (véhicules électriques, économies d'énergie..), des structures proposent, après un "bilan carbonne", de réduire ou de compenser vos émissions, en finançant dans des pays sous-industrialisés des équipement réduisant les émissions de Co2.
En contre partie, vous contribuez à un meilleur équilibre au niveau mondial, et vous pouvez communiquer et améliorer votre image de marque tout en donnant le bon exemple.
climat mundi (http://www.climatmundi.fr/) réalise des bilans d'émissions carbonne, et peut financer des projets pour compenser vos propres émissions.
contactez diapo (marketing territorial) pour réaliser un plan d'étude et d'actions pour communiquer efficacement et obtenir des bénéfices durables en terme d'image.
Après le papier recyclé, les préoccupations autour des émissions de Co2 vont croissant.
Renseignez-vous au 0825 800 139 (numéro indigo)

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26 juin 2006 à 13:47 | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)

pôles d’excellence rurale

(communiqué du premier ministre)

Labellisation de 175 pôles d’excellence rurale

Dans la bataille pour l’emploi et pour la compétitivité du territoire national, les projets de développement portés par les acteurs des territoires ruraux doivent être pleinement valorisés. C’est dans cet esprit que le Premier ministre a lancé le 9 décembre 2005 l’appel à projets des " pôle d'excellence rurale " .

Par cette démarche le gouvernement a voulu susciter et soutenir des projets innovants, créateurs d’emplois directs et indirects en milieu rural, et qui s’inscrivent dans l’un des quatre domaines d’excellence que sont la promotion des richesses naturelles, culturelles et touristiques ; la valorisation et la gestion des bio ressources ; l’offre de services et l’accueil de nouvelles populations ; les technologies pour les productions industrielles, artisanales et de services localisées.

Cet appel à projets a suscité une très forte mobilisation. Plus de 550 porteurs de projets (EPCI, pays, parcs naturels régionaux, GAL, associations, départements) ont jusqu’à ce jour déclaré leur intention de participer à l’appel à projets.

On a enregistré 343 dépôts de dossiers pour la première session de candidatures, qui a été close le 1er mars. Les initiatives ont concerné pour cette première vague la presque totalité du territoires national (3 départements ruraux seulement n’ont pas présenté de projets).

Une commission nationale de pré- sélection composée d’élus, de personnalités qualifiées et de représentants de l’administration, s’est réunie le 20 juin 2006 afin de procéder à une analyse des candidatures. Les propositions de labellisation qu’elle a formulées au Premier ministre s’appuient sur un travail d’analyse approfondi, réalisé en lien avec les services déconcentrés de l’Etat. La commission a privilégié les projets qui s’inscrivent dans une logique de développement durable, s’appuient sur un partenariat public-privé avéré, présentent un caractère innovant dans le territoire où elles émergent, et contribuent à la création d’emploi.

Le Premier ministre a décidé de procéder à la labellisation de 175 pôles d’excellence rurale.

Les projets portent pour 78 d’entre eux (44 %) sur la valorisation des patrimoines naturels, culturels et touristiques ; pour 32 d’entre eux (19%) sur les bio-ressources ; pour 26 d’entre eux (15 %) sur les services et l’accueil de nouvelles populations ; pour 27 d’entre eux sur les technologies (15 %) ; et pour 12 d’entre eux (7%) sur des thématiques plus transversales.

Les projets sélectionnés couvrent l’essentiel du territoire national. 29 départements ont 1 pôle d’excellence ; 30 départements en ont 2 ; 16 départements ont 3 pôles ; et 8 départements en ont 4 ou plus.

Les 175 projets sélectionnés correspondent à un investissement global de plus de 570 M€. Le nombre d’emplois directs attendus par les porteurs de projets est de 7 000 (soit 40 emplois par projet), et on estime les emplois indirects et induits maintenus ou crées à plus de 25 000. Les financements d’Etat qui seront mobilisés s’élèvent à 128 M€.

De nouveaux projets seront examinés lors de la seconde session de candidatures, qui sera close début septembre.

(fin du communiqué)

24 juin 2006 à 15:20 | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)

La carte bleue pour les services publics locaux, profitez-en dès maintenant !

CbL'association des maires de France (AMF) s’associe à la diversification des moyens de paiement des services publics locaux en signant un protocole avec le ministre de l’Economie, des finances et de l’industrie et le ministre déléguée à la Cohésion sociale et à la parité. Ce protocole vise à favoriser le paiement par carte bancaire au sein des services publics locaux, ainsi que l’acceptation de moyens de paiement alternatifs au chèque. A l’origine lancé en faveur d’un public en difficulté bancaire, qui ne dispose pas de moyens de paiement par chèque, ce dispositif étendu à tous les services de proximité serait sans doute extrêmement bien accueilli par l’ensemble de la population.
EPCI, ville, communauté, toutes les marques territoriales sont concernées :
Faciliter le règlement pour les cantines, crèches, haltes garderies, piscines... serait un moyen simple de dynamiser une marque territoriale en lui donnant une image de modernité et de proximité. Couplé à une intelligente campagne de promotion de l’image de marque de la ville ou de la collectivité concernée, les bénéfices seraient immédiats. Une campagne de street marketing ou de marketing alternatif est tout à fait envisageable pour ce type d’opération.
Contactez diapo ([email protected]) ou au 0825 800 139 pour connaître les moyens à mettre en place

01 mar 2006 à 13:00 | Lien permanent | Commentaires (1)

Avec FON, dynamisez votre marque territoriale !

Fon1« FON (http://fr.fon.com/) - prononcez "fone" - révolutionne le WiFi et rend l'Internet mobile. FON réunit tous les utilisateurs de WiFi qui partagent une partie de leur connexion Internet sans fil. »
FON est un instrument de sociabilité et nomadisme numérique, un réseau de personnes, explique Yann Mauchamp, qui dirige la société en France. 
FON est soutenue depuis le 5 février par les plus grands fonds d’investissements : Séquoia Capital (Google, Linkedin, mp3.com, Yahoo…) , Google, Skype, Index venture.
Mais quel rapport avec votre marque territoriale ?
Fon2 D’ici à 2 ans, tout le monde parlera de FON. Un outil démocratique, grand public, ciblant parfaitement les attentes des internautes, avec pour ambition - réaliste - de créer la plus grande communauté sans fil au monde.
D’un point de vue marketing, on peut estimer que seuls les leaders d’opinion ou les early-adopters utiliseront FON jusque fin 2006.
Profitez-en ! Vous avez la chance unique d’émettre un message fort en direction de ces leaders, et d’y associer l’image de votre marque. Ville, communauté d’agglomération, communauté de commune, Office de tourisme, EPCI… les opportunités sont très rares de pouvoir augmenter naturellement la notoriété de votre image de marque en l'associant à un dynamisme naissant.
Il est évident que les premières collectivités qui offriront aux habitants de partager ce système profiteront de retombées médiatiques immédiates. C'est également une opportunité évidente pour les pôles de compétitivité, les futurs pôles d'excellence rurale et les villes et villages isolés.
diapo, spécialisée dans le marketing territorial, ([email protected]) peut vous prêter main forte dans l’établissement d’une telle opération, qui nécessite une approche rigoureuse et ordonnée. Contactez diapo sans tarder pour obtenir des détails sur l'opération qui peut être envisagée sur votre territoire au 0825 800 139

26 fév 2006 à 01:01 | Lien permanent | Commentaires (7)

Le vélo, réel engouement et amélioration de l'image de la ville

Velo_lyon_1 La mayonnaise prend. Au-delà des quelques problèmes techniques ou actes de malveillance, le vélo en libre service est une vraie réussite, et participe au changement de l'image de marque des villes. Le cas du Grand Lyon est incontournable.
Avec plus de 2.000 vélos en fonctionnement, gratuit jusque 30mn d'utilisation entre chaque station, le service VeloV est un réel succès populaire : plus de 10.000 locations sont effectuées quotidiennement.
Tout a été pensé pour faciliter l'accès à ce mode de déplacement. Un maillage de stations important, une information facilement accessible (numéro vert, site internet, forum...)
Le vélo devrait arriver prochainement à Paris, Montpellier, et dans d'autres grandes agglomération.
Clear Channel, Viacom ou JC Decaux (qui gère VeloV à lyon) se battent pour remporter les marchés, liés en partie à l'affichage urbain.
Si ce mode de déplacement ne semble pas conduire à une réduction significative de la pollution, il conduit en revanche à une nette amélioration de l'image de la marque territoriale. Lyon devient ainsi peu à peu "la ville des Vélos", alors qu'elle était il y a peu "la ville des bouchons" (celui du fameux Tunnel de fourvière). Un changement de perception de l'image de la ville pour ses habitants, et un solide argument en faveur des futurs arrivants.

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23 fév 2006 à 23:45 | Lien permanent | Commentaires (28)

la communauté d'agglomération de Caen la Mer lance Effiscience

EffiscienceDans une note récente, nous vous avions indiqué que Caen la mer lançait un campus technologique dédié aux activités R&D, avec l'implantation de Philips comme locomotive (2007, 800 personnes) et de Webhelp (500 personnes). C'est maintenant officiel, et il s'appelle Effiscience.
C'est diapo (diapo.com) qui s'est chargé pour le compte de Normandie aménagement de l'étude des valeurs et de la création du nom de marque.

Effiscience, le campus technologique de Caen la mer, symbolise "l'avenir et l'image du territoire". le campus est fondé sur " la convergence de programmes privés et publics innovants, sur l’équilibre des projets lancés tant par des entrepreneurs, des chercheurs, des enseignants et avec le soutien des institutions publiques."

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21 fév 2006 à 12:21 | Lien permanent | Commentaires (1)

Affaire Clemenceau, l'image de la France sauvegardée ?

Clem_1Le Clemenceau est donc de retour, sur ordre du Président de la république (1). L'affaire Clemenceau a-t-elle pris fin pour autant ? Y a t il eu un impact sur l'image de la marque territoriale "France" ?
Dans une note récente sur l'affaire clemenceau, nous indiquions que d'un point de vue "risque marketing", tous les éléments montraient que le risque était prévisible, et que l'impact sur l'image de marque de la France était potentiellement important.

D'un point de vue marketing, cette affaire ressemble en tous points à la gestion d'une crise de "retrait de produit". L'équation est simple et les règles constantes :
1/ Si un produit présente un risque, retirez-le immédiatement de la vente.
2/ Devancez les médias.
3/ Offrez une information constante, juste et sincère.
4/ Montrez une image responsable.
5/ Offrez un point central d'information et une seule version des faits.
On voit bien ici qu'aucune de ces règles n'a été appliquée par les acteurs. Mais pour autant, on peut imaginer que l'affaire Clemenceau n'aura que peu d'impact sur l'image de marque de la France.

Le retrait annoncé a été décidé par la France. Les titres de la presse internationale sont rédigés en ce sens, en indiquant que c'est bien Jacques Chirac qui a ordonnée le rapatriement du Clemenceau. En terme de communication, Jacques Chirac ayant oeuvré depuis longtemps dans le sens de l'environnement au niveau mondial, les populations étrangères - Indiens non compris - interpréteront que la France a été responsable dans cette affaire en conservant son bien contaminé.
Reste à convaincre la population Française elle-même. C'est au retour du Clemenceau que tout se décidera. A ce moment là, le chantier de désamiantage devra répondre au besoin d'information de la population, en offrant une transparence totale sur sa gestion. Les Français devront pouvoir se rendre compte par eux-mêmes que le chantier de désamiantage présente toute les précautions requises, et devront pourvoir suivre l'avancée du chantier en temps quasi-réel.

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(1)Par une décision en référé du 15 février 2006, le Conseil d'Etat a décidé de suspendre le transfert de l'ex-porte-avions français «Clemenceau» vers un chantier indien, où il devait être désamianté et démantelé. Jacques Chirac a immédiatement ordonnée le retour du Clemenceau en France.

16 fév 2006 à 12:46 | Lien permanent | Commentaires (1)

Grippe aviaire : anticiper les effets sur l'image de la marque territoriale

Coq_1

La grippe aviaire n'a pas encore frappé la France, mais il serait utopique de penser que nous pouvons l'éviter. Il est tout à fait probable que l'une de nos régions subira très prochainement l'arrivée du virus, malgré les différentes mesures de confinement qui ont été prises. Alors, quelles peuvent en être les conséquences sur l'image de marque du ou des territoires concernés ?
Tout dépendra du niveau d'anticipation et de réponses qui ont été imaginées et prévues en amont de la crise, à la fois par les collectivités locales et au niveau national.Phénomène très largement relayé par les médias du monde entier et qui n'a pas encore touché un pays comme la France (1er producteur Européen de volailles, 4ème exportateur mondial), la grippe aviaire est un bon exemple de risque marketing qu’il faut savoir anticiper. La grippe aviaire est un risque majeur à l’échelle du Pays. Et les conséquences d’une mauvaise gestion de crise, même locales, seraient immédiatement relayées en cascade jusqu’au niveau national. Il est donc urgent tout à fait urgent que chaque organe de gestion territoriale, ville, communauté, département, région et état se réunissent et offre un point central d’information.
Le fait que tel ou tel organe de décision soit juridiquement seul responsable du traitement des conséquences de l’arrivée du virus importe peu, puisque en terme d'image tous les territoires sont concernés.
Quel serait les effets sur la marque d’une collectivité locale qui ne réagirait pas immédiatement à la crise, lorsque l’on sait que les médias attendent déjà l’information ? Un désastre, bien entendu. Tant au niveau Local, que régional, et national.
D’un point de vue communication, la grippe aviaire (tant que le virus n’a pas muté) est en fait une chance. Parce qu’il est facile de prévoir les différents scénarios à mettre en place pour devancer et informer régulièrement les médias avec une attitude responsable et une image de contrôle. Vous avez quelques semaines ou quelques mois pour vous y préparer...

13 fév 2006 à 16:15 | Lien permanent | Commentaires (0)

Clemenceau : mauvaise gestion de la marque "France"

GreenpeaceL'affaire du clemenceau et de son amiante est un cas d'école de mauvaise anticipation et gestion de communication de crise. Au-delà de tout point de vue écologiste ou politique, l'état a sans doute négligé le risque marketing et son impact sur l'image de la marque territoriale "France", qui était pourtant tout à fait prévisible. Tous les ingrédients étaient réunis pour faire de cette affaire un scandale pouvant impacter négativement et durablement sur la marque : un emblème national, une menace toxique, l'écologie, la mondialisation, le conflit Nord-Sud ...
S'y rajoute le désaccord des Français et celui des Indiens :
En France, un sondage exclusif réalisé par l’institut CSA (pour les associations Greenpeace, Andeva, Comité anti-amiante Jussieu, FIDH et Ban Asbestos), révèle qu’une très forte majorité de Français (68%) veulent que le Clemenceau soit rapatrié en France pour être désamianté. (source: greenpeace).
ClemenceauEn Inde, selon un sondage publié le 11 février 2006, 70 % des Indiens se prononcent contre le désamiantage du Clemenceau en Inde. Ce sondage a été réalisé auprès de 983 personnes par le groupe Hansa Research Group. (source: marseamer)

Pour un coût "évité" de 5 Millions d'euros (désamiantage en France moins valeur de la coque), la marque France s'est donc offerte une fabuleuse campagne de communication négative à l'échelle mondiale, coût ridicule si on le compare à celui des futures actions de communication qu'il faudra engager pour "ramener" une image positive du Pays.
L'affaire clemenceau doit devenir un exemple pour la gestion des marques. Régions, communautés, EPCI, villes... des problèmes similaires sont envisageables partout en France, pour tous les risques potentiels, et seule une anticipation et une gestion du risque marketing pourrait permettre d'éviter un impact négatif sur nos marques territoriales.

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* source : greenpeace

13 fév 2006 à 10:45 | Lien permanent | Commentaires (2)

EPCI, démocratisez-vous en visant les outils online !

GroupeLes différentes critiques récentes portant sur l'absence de consultation des habitants pour la gestion et le développement d'une EPCI font apparaître un besoin réel de proximité et d'écoute. Difficile à mettre en oeuvre dans la vie courante, cette participation active des habitants peut pourtant être fort utile au développement de la marque territoriale, et contribuer à son acceptation et son appropriation par les habitants.
Forums, wiki, blogs, podcast etc.. peuvent créer des avantages "concurrentiels" pour les communautés d'agglomération, de communes ou urbaine. Ils représentent un potentiel d'apport de nouvelles idées, d'échanges de point de vue et d'informations, et accroissent naturellement la notoriété de l'EPCI au niveau National et international. Ils sont également un atout précieux pour cibler, voir "contenir" les leaders d'opinion.
Si les expériences sont peu nombreuses au niveau des EPCI, ces outils sont utilisés avec succès par des communes, parfois de très petites communes. Ils sont liés à ce que nous appelons le marketing participatif.
Ainsi, Saulzoir, 1.700 habitants (http://commune-saulzoir.hautetfort.com/),  possède son blog, tout comme pfastatt, 8.500 habitants (http://pfastatt.typepad.com/unjour/), ce qui ne manque pas de donner une image de sympathie et de proximité.
Si ces outils possèdent des avantages réels, ils doivent être pourtant rigoureusement suivis et mis à jour. L'image de marque du territoire en dépend. Un blog comme celui du conseil de développement de l'agglomération Grenobloise(http://blog.conseil-dev.la-metro.org/) apparaît malheureusement figé (4 articles depuis le 1er Juin 2005), et donne l'impression d'un immobilisme - à tord, puisque le site, à une autre adresse (http://conseil-dev.la-metro.org/), apparaît lui comme dynamique et mis à jour. Un internaute reste persuadé qu'en entrant sur un site Internet, il pénètre sur le territoire : le retour d'image et l'avis qu'il s'en fait est ainsi immédiat - positif ou négatif.
Si le blog nécessite la mise en ligne d'articles réguliers, le forum est passé maître dans l'art de la démocratie. Encore très peu utilisé, il ne nécessite pourtant qu'un suivi de modération, ou d'auto-modération par des membres actifs.
Marseille-forum  (http://www.marseilleforum.com/forum/), un site associatif, présente ainsi plus de 24.000 messages et 380 membres, enrichi chaque jour d'échanges sur des sujets locaux, du co-voiturage aux photos de Marseille. Un projet intéressant, qui aurait pu être lancé par la Mairie (qui possède un "mini forum") ou la communauté (qui n'en possède pas).
Encore trop centrées sur la recherche et l'accueil de nouveaux arrivants, les communautés doivent prendre possession de ces nouveaux outils, en songeant qu'une dynamique interne au territoire ne pourra qu'être bénéfique à son développement. Très peu couteux, non mobilisateurs de ressources, et d'une gestion facilement externalisable, ils représentent un atout majeur pour la visibilité online de la marque territoriale. diapo ([email protected]) développe un service spécifique pour les communautés souhaitant  gérer ces outils.

08 fév 2006 à 23:34 | Lien permanent | Commentaires (1)

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